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Camille Saint-Saëns (1835-1921) pianiste, organiste et compositeur français


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1952

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 18 octobre 1952

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 18 octobre 1952
Vente générale : 20 octobre 1952
Retrait de la vente : 21 mars 1953
Valeur faciale : 15 f + 4 f
Graveur : Jean Pheulpin

Dessinateur : Jean Pheulpin

Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : vert foncé
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1.300.000
Présentation : Feuille de 25 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 932
Catalogue Spink / Maury France : N° 932
Catalogue Michel : N° FR 950
Catalogue Scott : N° FR B269
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 2,25 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 1,13 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 2,06 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Musiciens, chef d'orchestres

 


Informations sur le sujet du timbre

Camille Saint-Saens

On compare souvent, et à juste titre, la précocité de Camille Saint-Saens à celle de Mozart. A 5 ans, il maîtrise parfaitement la technique du piano et compose sa première pièce. C'est à l'âge de 11 ans qu'il joue en public un concerto pour piano de Mozart, départ d'une carrière de concertiste qu'il n'a jamais interrompue jusqu'à sa mort en 1921. Son mauvais caractère n'encourageait guère ses contemporains à inscrire ses oeuvres à leurs programmes. Ses qualités de virtuose hors pair suscita l'admiration de Franz Liszt, avec lequel il se lia d'amitié jusqu'à la fin de sa vie. C'est d'ailleurs ce dernier qui créa, pour soutenir son ami, l'opéra-oratorio «Samson et Dalila» à Weimar en 1877. A cette époque, il avait déjà fondé la «Société Nationale de Musique», qui avait pour but de promouvoir la musique française, par réaction aux romantisme allemand et à l'opéra italien très en vogue à ce moment. C'est à l'apogée de son succès, en 1886, qu'il composa le «Carnaval des Animaux» que St-Saens renia presque aussitôt, il n'autorisa ni la publication, ni l'exécution en public de cet oeuvre jusqu'à sa mort. Elle reflète toutefois le caractère du personnage qui a écrit cette partition, celui-la même qui, fait rare, eu l'honneur d'assister à l'inauguration de sa propre statue à Dieppe
http://www.musiphil.org
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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