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Pierre-Marc comte d'Argenson (1696-1764) surintendant général des postes


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1953

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour le 14 mars 1953

 

Premier jour : Oblitération 1er jour le 14 mars 1953
Vente générale : 14 mars 1953
Retrait de la vente : 27 juin 1953
Valeur faciale : 12 f + 3 f
Graveur : Raoul Serres

Dessinateur : Raoul Serres

Dentelure : Dentelé 13
Couleur : bleu
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1.750.000
Présentation : Feuille de 25 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 940
Catalogue Spink / Maury France : N° 940
Catalogue Michel : N° FR 958
Catalogue Scott : N° FR B275
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,94 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,63 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,69 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Hommes politiques, militaires, rois, marchands

 


Informations sur le sujet du timbre

Marc-Pierre de Voyer de Paulmy, comte d'Argenson

est un homme d'État français né à Paris le 16 août 1696 et mort dans la même ville le 22 août 1764.
Le 26 août 1742, il est nommé ministre d'État et appelé au Conseil comme adjoint au cardinal de Tencin. Il est nommé secrétaire d'État de la Guerre le 7 janvier 1743, au décès du marquis de Breteuil. En 1744, il est nommé surintendant des postes et relais de France.
Il soutient les réformes engagées dans l'armée par le maréchal de Saxe, en particulier dans l'artillerie, qui contribuent aux succès de 1744 et 1745.
En 1749, au renvoi de Maurepas, il se voit confier en outre le département de Paris. Il fait dresser les plans des Champs-Élysées et de la place Louis XV. En 1751, il reçoit la grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.
D'abord ami de Madame de Pompadour, il est ensuite en butte à l'hostilité de celle-ci, sans doute en raison de sa proximité avec le parti de la Reine et de son opposition à l'alliance autrichienne. Il mène également une lutte sourde contre son rival, Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville. Il est en définitive exilé dans son château des Ormes en février 1757 et remplacé par son neveu, le marquis de Paulmy. Il ne peut revenir à Paris qu'en juin 1764, trois mois après la mort de sa puissante ennemie, pour mourir à son tour deux mois plus tard. Il est inhumé à l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris.
Source Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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