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Gérard de Nerval (1808-1855) écrivain et un poète français


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1955

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris Salon Philatélique d'Automne le 11 novembre 1955

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris Salon Philatélique d'Automne le 11 novembre 1955
Vente générale : 14 novembre 1955
Retrait de la vente : 24 mars 1956
Valeur faciale : 12 f
Graveur : Pierre Munier

Dessinateur : Pierre Munier

Dentelure : Dentelé 13
Couleur : brun carminé et brun noir
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 2500000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1043
Catalogue Spink / Maury France : N° 1043
Catalogue Michel : N° FR 1071
Catalogue Scott : N° FR 781
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,16 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,11 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,09 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 


Informations sur le sujet du timbre

Gérard de Nerval

Né à Paris le 22 mai 1808, Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Labrunie, ne connut jamais sa mère, morte en Allemagne deux ans après sa naissance. Élevé par son oncle maternel, il passa son enfance à Mortefontaine, dans le Valois, dont les paysages servirent d'ailleurs de cadre à la plupart de ses récits de fiction.
l'oeuvre de Nerval est essentiellement romanesque et poétique. Son intérêt pour la pensée hermétique, cette foi dans la valeur du savoir ésotérique furent aussi, d'une autre façon, une source d'inspiration pour les oeuvres majeures de la fin de sa vie, «les Filles du feu » (1854), «les Chimères » (1854) et «Aurélia » ou «le Rêve et la Vie » (1855). Chaque nouvelle des «les Filles du feu » porte le nom d'une femme, à la fois réelle et mythique («Angélique», «Sylvie», «Octavie», «Isis», «Corilla»). Tous ces textes font néanmoins le récit de la quête d'une figure féminine perdue.
À la suite d'une première crise de folie le 23 février 1841, il est soigné chez Mme Marie de Sainte-Colombe. Après une seconde crise, le 21 mars, il est interné dans la clinique du docteur Blanche, à Montmartre, de mars à novembre. Le 26 janvier 1855, on le retrouva pendu aux barreaux d'une grille qui fermait un égout de la rue de la Vieille-Lanterne

 

 

 

 

 

 

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