Fermer

 

Max Jacob (1876-1944) poète et romancier


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1976

Listage des timbres de l'année 1976

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Quimper le 22 juillet 1976

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Quimper le 22 juillet 1976
Vente générale : 22 juillet 1976
Retrait de la vente : 21 janvier 1977
Valeur faciale : 80 c + 20 c
Graveur : Eugène Lacacque
Dessinateur : René Déssirier

Département concerné par ce timbre : Finistère
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : brun-rouge et brun-olive
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm ( image 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 3.000.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1881
Catalogue Spink / Maury France : N° 1881
Catalogue Michel : N° FR 1981
Catalogue Scott : N° FR B491
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,18 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,18 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 


Informations sur le sujet du timbre
Max Jacob (1876-1944) poète et romancier 

Max Jacob (Image Wikipédia)

 

Max Jacob

est un poète, romancier, essayiste, épistolier et peintre français, né le 12 juillet 1876 à Quimper, mort le 5 mars 1944, alors qu'il était emprisonné au camp de Drancy (Seine-Saint-Denis).
Il passe toute sa jeunesse à Quimper (Bretagne), puis s'installe à Paris, où il fréquente notamment le quartier de Montmartre et se fait de nombreux amis dont Picasso, qu'il rencontre en 1901, Braque, Matisse, Apollinaire et Modigliani.
Juif de naissance, il se convertit au catholicisme. Logeant au 7 de la rue Ravignan, l'image du Christ lui apparaît le 22 septembre 1909 sur le mur de sa chambre et il l'entoure d'un cercle. Il se fait baptiser à l'âge de 40 ans, le 18 février 1915, avec Picasso comme parrain.
En 1913, il séjourne à Céret (Pyrénées-Orientales) avec le peintre Juan Gris. Il y réalise une série de dessins du village.
Après avoir vécu à Saint-Benoît-sur-Loire de 1921 à 1928 auprès de l'abbaye bénédictine, il y revient en 1936 pour s'y retirer définitivement et y mène une vie quasi-monastique.
C'est là qu'il est arrêté par la Gestapo d'Orléans le 24 février 1944, avant d'être déporté au Camp de Drancy, où il meurt d'épuisement deux semaines plus tard . Max Jacob comptait parmi ses nombreux amis Jean Moulin qui prendra le pseudonyme de Max dans ses activités de résistant. Son corps a été inhumé en 1949 à Saint-Benoît-sur-Loire. Le 17 novembre 1960, il est déclaré officiellement « Poète mort pour la France »
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

 

 

 

 

 

Fermer

 

Cette page a été visitée 8 843 188 fois depuis le 1er mai 2022