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Bicentenaire de la révolution - Gaspar Monge, comte de Péluse 1746- 1818


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1990

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Beaune le 13 octobre 1990

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Beaune le 13 octobre 1990
Vente générale : 29 octobre 1990
Retrait de la vente : 10 mai 1991
Valeur faciale : 2 f 50
Graveur : Jacques Gauthier
Dessinateur : Jacques Gauthier
Département concerné par ce timbre : Côte-d'Or
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm ( image 21,45 x 36 mm )
Quantité émis : 2.539.176
Présentation : Bloc de 4 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 2667
Catalogue Spink / Maury France : N° 2667
Catalogue Michel : N° FR 2803
Catalogue Scott : N° FR 2232a
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,30 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,24 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Batailles, tratés, rois, reine, personnages

 


Informations sur le sujet du timbre
Gaspard Monge, comte de Péluse, né le 9 mai 1746 à Beaune et mort le 28 juillet 1818 à Paris est un mathématicien et homme politique français. Son œuvre considérable mêle géométrie descriptive, analyse infinitésimale et géométrie analytique.
Il concourt avec Berthollet, Chaptal et Laplace à la création de l'École d'arts et métiers. Il est, avec Jacques-Élie Lamblardie et Lazare Carnot, un des fondateurs de l'École polytechnique. Il est également membre de la commission des sciences et des arts lors de la campagne d'Italie (1796-1797), et chargé de mission dans l'expédition d'Égypte (1798–1799).
La Révolution française, qu'il soutient dès 1789, change complètement le cours de sa vie, alors qu'il est un des scientifiques les plus importants de France. Vraisemblablement vers le mois de juin 1790, il adhère, comme beaucoup de ses collègues académiciens, à un premier club modéré, la société patriotique de 1789, située au Palais-Royal. Puis il entre à la Société patriotique de la section du Luxembourg avec ses amis Jean-Nicolas Pache, Alexandre-Théophile Vandermonde, Jean-Baptiste Marie Meusnier et Jean-Henri Hassenfratz. Il devient finalement membre du Club des jacobins.
Source Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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