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François de Malherbe (1555-1628) poète


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1955

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Caen le 11 juin 1955

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Caen le 11 juin 1955
Vente générale : 13 juin 1955
Retrait de la vente : 15 octobre 1955
Valeur faciale : 15 f + 6 f
Graveur : Charles Paul Dufresne

Dessinateur : André Spitz

Département concerné par ce timbre : Calvados
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : bleu
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1050000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1028
Catalogue Spink / Maury France : N° 1028
Catalogue Michel : N° FR 1054
Catalogue Scott : N° FR B295
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 4,75 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 2,75 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 4,38 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 

Informations complémentaires
Série de timbres «Personnages célèbres» : de gauche à droite : Philippe Auguste roi de France, François Malherbe, Sébatien Le Prestre de Vauban, Charles Gravier, Pierre Simon marquis de La place et Pierre-Auguste Renoir
Source : divers documents internet dont Wikipédia

Informations sur le sujet du timbre

François de Malherbe

est un poète français, né à Caen vers 1555 et mort à Paris le 16 octobre 1628. Il est le fils de François, écuyer, seigneur de Digny, conseiller au bailliage et présidial de Caen, et de Louise Le Vallois.
Poète officiel de 1605 à 1628, son évolution de la magnificence à la sobriété traduit le passage du goût baroque au goût classique, amenant la poésie vers un grand dépouillement. Son influence a été considérable sur la poésie française. Bien qu'il n'ait pas écrit d'art poétique, une doctrine était tirée de ses oeuvres, de ses annotations sur son exemplaire des poésies de Philippe Desportes et des remarques orales rapportées par ses contemporains. Ce sont notamment ses disciples François Maynard et Honorat de Bueil de Racan qui, suivant leur maître, créent le corpus louant «l'harmonie classique», qui prédominera pendant près d'un siècle.
Durant tout le XVIIème siècle, Malherbe est la référence majeure des théoriciens classiques. Dans son Art Poétique (1674), Nicolas Boileau le loue avec ferveur, commençant son éloge par le célèbre hémistiche «Enfin Malherbe vint».
Source Wikipédia