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Jean Cavaillès (1903-1944) héros de la résistance


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1958

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Saint-Maixent le 19 avril 1958

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Saint-Maixent le 19 avril 1958
Vente générale : 21 avril 1958
Retrait de la vente : 18 octobre 1958
Valeur faciale : 8 f
Graveur : Albert Decaris

Dessinateur : Albert Decaris

Département concerné par ce timbre : Deux-Sèvres
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : violet et brun noir
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 2.450.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1157
Catalogue Spink / Maury France : N° 1157
Catalogue Michel : N° FR 1193
Catalogue Scott : N° FR 879
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,33 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,14 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,18 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Grands résistants de la seconde guerre

 


Informations sur le sujet du timbre
Jean Cavaillès (1903-1944) héros de la résistance 

Jean Cavaillès (Image Wikipédia)

 

Jean Cavaillès

né le 15 mai 1903 à Saint-Maixent (Deux-Sèvres) et fusillé le 17 février 1944 à Arras (Pas-de-Calais), est un héros de la Résistance.
Il est cofondateur à Clermont-Ferrand, en 1940, avec Lucie Aubrac et Emmanuel d'Astier de La Vigerie du mouvement Libération-Sud. Il est arrêté par la police française en août 1942 et interné à Montpellier puis à Saint-Paul-d'Eyjeaux, d'où il s'évade en décembre 1942.
Cavaillès est trahi par un de ses agents de liaison sans doute «retourné»
Arrêté le 28 août 1943 à Paris ensemble avec sa soeur Gabrielle, son beau-frère Marcel Ferrières et quatre autres membres de son réseau (dont Pierre Thiébaut), il est torturé par la Gestapo de la rue des Saussaies. Il ne parle pas, Cohors survit. Tous les sept sont incarcérés à Fresnes. Après cinq mois, Gabrielle Ferrières est remise en liberté, les autres sont transférés à Compiègne en attente d'être déportés. Cavaillès a comparu devant un tribunal militaire allemand et été fusillé sur-le-champ le 17 février 1944 dans la citadelle d'Arras.Il est enterré dans une fosse commune sous une croix de bois portant l'inscription « Inconnu no 5 ».À la Libération, son corps est exhumé. Compagnon de la Libération à titre posthume, il repose dans la chapelle de la Sorbonne.
Source Wikipédia