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Général Estienne (1860-1936)


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1960

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Condé-en-Barrois et Paris le 5 novembre 1960 

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Condé-en-Barrois et Paris le 5 novembre 1960 
Vente générale : 7 novembre 1960
Retrait de la vente : 22 avril 1961
Valeur faciale : 15 c
Graveur : Jacques Combet

Dessinateur : Jacques Combet

Département concerné par ce timbre : Meuse
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : lilas et gris olive
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 40 x 26 mm (vignette 36 x 21,45 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 4.750.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1270
Catalogue Spink / Maury France : N° 1270
Catalogue Michel : N° FR 1323
Catalogue Scott : N° FR 975
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,11 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,09 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Thème militaire, défilé, service, batailles

 


Informations sur le sujet du timbre

Jean Estienne

né le 7 novembre 1860 à Condé-en-Barrois dans la Meuse et mort le 2 avril 1936 à Paris, est un militaire, artilleur et ingénieur militaire français. Il a eu en France une influence importante dans le développement de l'artillerie moderne et de l'aviation militaire. Il reste surtout connu comme l'homme qui a créé une arme blindée en France ce qui lui a valu le surnom de « Père des chars ».
Quand la Première Guerre mondiale éclate, Estienne est désigné comme chef de corps du 22e régiment d'artillerie basé à Versailles qui fait partie de la 6e division d'infanterie du général Bloch puis du général Pétain à la fin du mois d'août. À la bataille de Charleroi, l'artillerie, qu'il dirige de main de maître et qui utilise un réglage aidé par l'aviation, impressionne les troupes allemandes.
Le 16 juillet, Louis Renault annonce à Estienne que sa compagnie développe un char léger. Malgré le résultat mitigé obtenu par les premiers tanks britanniques, leur engagement déclenche une euphorie qui permet d'accélérer le développement des forces blindées françaises. L'avenir de l'« artillerie spéciale » est désormais assuré. Le matériel est commandé en masse, et de nombreux groupes d'artillerie spéciale, puis des régiments de chars légers, voient le jour. En juin 1917, l'industrie a reçu des ordres de fabrication pour 150 chars lourds 2C, 600 chars moyens et pas moins de 3 500 chars légers FT.
Source Wikipédia