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Georges Bernanos (1888-1948) écrivain


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1978

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 18 février 1978

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 18 février 1978
Vente générale : 20 février 1978
Retrait de la vente : 15 septembre 1978
Valeur faciale : 1 f + 20
Graveur : Jacques Gauthier
Dessinateur : Jacques Gauthier
Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : olive brun-jaune et bleu-gris
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm ( image 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 3.000.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1987
Catalogue Spink / Maury France : N° 1990
Catalogue Michel : N° FR 2073
Catalogue Scott : N° FR B506
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,20 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,20 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 


Informations sur le sujet du timbre
Georges Bernanos (1888-1948) écrivain 

Georges Bernanos (Image Wikipédia)

 

Georges Bernanos

né à Paris , le 20/02/1888 mort à : Neuilly-surSeine , le 05/07/1948 est un écrivain français.
Au seuil de la quarantaine, de se consacrer entièrement à la littérature. Il obtient le Prix Femina en 1929 pour «La Joie» puis connaît sa plus grande fécondité littéraire lors de son séjour à Majorque entre 1934 et 1937.
Bernanos s'installe aux Baléares en 1934, en partie pour des raisons financières. Il y écrit «Le Journal d'un curé de campagne». Publié en 1936, il est couronné par le Grand prix du roman de l'Académie française.
Surpris par la guerre d'Espagne, il revient en France puis s'embarque pour le Paraguay et le Brésil, où il achève en 1940 «Monsieur Ouine».
Lorsque la guerre éclate en Europe, il multiplie les articles dans la presse brésilienne et devient l'un des plus grands animateurs spirituels de la Résistance française.
En juin 1945, il vient poursuivre ce combat dans la France libérée, et écrit pour la presse de la Libération. Il passe ses dernières années en Tunisie où il compose l'un de ses chefs-d'oeuvre «Dialogues de Carmélites», qui depuis sont joués sur toutes les scènes du monde.
Source : divers documents internet dont Wikipédia