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« Femme à l'ombrelle » d'Eugène Boudin (1824-1898)


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1987

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Honfleur le 23 mai 1987

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Honfleur le 23 mai 1987
Vente générale : 25 mai 1987
Retrait de la vente : 13 novembre 1987
Valeur faciale : 5 f
Graveur : Georges Bétemps

Département concerné par ce timbre : Calvados
Dentelure : 13 x 12½
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 52 x 40,85 mm (image 48 x 36,85 mm )
Quantité émis : 4.472.074
Présentation : Feuille de 25 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 2474
Catalogue Spink / Maury France : N° 2475
Catalogue Michel : N° FR 2608
Catalogue Scott : N° FR 2039
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,66 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,28 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects

 


Informations sur le sujet du timbre
« Femme à l'ombrelle » d'Eugène Boudin (1824-1898) 

Eugène-Louis Boudin (Image Wikipédia)

 

Femme à l'ombrelle

tableau d'Eugène-Louis Boudin peintre français, né à Honfleur (Calvados) le 12 juillet 1824, mort à Deauville (Calvados) le 8 août 1898. Il fut l'un des premiers peintres français à saisir les paysages à l'extérieur d'un atelier. Grand peintre de marines, il est considéré comme l'un des précurseurs de l'impressionnisme.
En 1862, alors qu'il est fatigué de réaliser des oeuvres de commandes pour vivre difficilement de son art, il assiste à la naissance de la mode des bains de mer et à la création de Deauville, nouvellement desservie par le chemin de fer. Il a alors l'idée en voyant les estivants de la bourgeoisie et de la noblesse parisienne flâner sur les plages des stations balnéaires normandes de représenter ces mondanités et ces élégantes. Ces scènes de plage ne rencontrent pas le succès du public. Mais dans ces peintures mondaines, la véritable quête du peintre reste la recherche de la lumière. Boudin aspire avant tout à «chercher son rayonnement, la fulguration, la condenser, la poursuivre dans sa chaleur». En témoigne la composition des tableaux où le ciel occupe toujours une très large bande supérieure<
Source Wikipédia