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Basilique Notre-Dame du Port - Clermont Ferrand


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1947

 

 

Vente générale : 6 janvier 1947
Retrait de la vente : 23 aout 1947
Valeur faciale : 3 f + 2 f
Graveur : Charles Mazelin

Dessinateur : Charles Mazelin

Département concerné par ce timbre : Puy-de-Dôme
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : bleu noir
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1.600.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 773
Catalogue Spink / Maury France : N° 773
Catalogue Michel : N° FR 774
Catalogue Scott : N° FR B214
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,81 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,48 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,75 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Chateaux, ponts, cathédrale, églises, villas

 


Informations sur le sujet du timbre

Notre-Dame-du-Port

est une église collégiale de facture romane, qualifiée tardivement de basilique, située à Clermont-Ferrand dans le quartier du Port entre la place Delille et la cathédrale. Du Xe siècle à la Révolution, elle fut desservie par une communauté de chanoines, séculiers dès le XIIIe siècle.
Son nom viendrait de ce qu'elle a été construite dans le quartier dit du « Port », en latin portus, c'est-à-dire l'entrepôt, l'endroit où l'on apportait et stockait les marchandises. Néanmoins, le Portus n'est pas attesté dans les écrits anciens avant 1065. L'église a d'abord porté le nom de Sainte-Marie dite Principale, ainsi distinguée de l'église-mère Sainte-Marie
Fondée selon la tradition catholique au VIe siècle par l'évêque saint Avit, elle aurait été relevée par l'évêque Sigon après avoir été brûlée par les Normands, puis rebâtie aux XIe et XIIe siècles, La création du chapitre de chanoines dirigé par un doyen, plus sûrement, n'est pas antérieure au milieu du Xe siècle , c'est l'oeuvre de l'évêque Étienne II. L'église, dont le chantier se poursuit encore en 1185 et en 1240, est gravement endommagée par les forts séismes qui secouent la région en 1477 et 1490. Elle est remaniée au XIXe siècle par l'ajout du clocher et de dalles de lave en remplacement des tuiles romanes d'origine, sous la direction de l'architecte diocésain Aymon Mallay. Ces dalles ont été retirées depuis et la toiture refaite à l'identique de l'originale, en tuiles canal.
Source Wikipédia