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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 11/01/2024

Visages impressionnistes

Portrait de Blanche Hoschedé enfant de Claude Monet


D´après une photo de Martine Beck-Coppola

Timbre : Adhésif



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Listage des timbres de l'année 2016

 

Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et Belfort le 2 avril 2016
Cachet premier jour créé par : Sylvie Patte et Tanguy Besset

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et Belfort le 2 avril 2016
Vente générale : 4 avril 2016
Retrait de la vente : 30 avril 2018
Valeur faciale : Sans (Validité permanente)
Valeur fiducière à la date d'émission : 0.70 €
Affranchissement le plus courant : Validité permanente
Mise en page : Sylvie Patte et Tanguy Besset

Dentelure : Dentelé 11
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Offset
Format du timbre : 24 x 38 mm
Quantité émis : 3.000.000.
Présentation : Carnet autocollant de 12 timbres
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1268
Catalogue Spink / Maury France : N° 1271
Catalogue Michel : N° FR 6424
Catalogue Scott : N° FR 5017
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,58 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,15 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects

 


Informations sur le sujet du timbre
Visages impressionnistes

Claude Monet

né sous le nom d’Oscar-Claude Monet le 14 novembre 1840 à Paris et mort le 5 décembre 1926 à Giverny, est un peintre français et l’un des fondateurs de l’impressionnisme. Il commence sa carrière d’artiste en réalisant des portraits-charge des notables de la ville du Havre. En 1859, il part pour Paris tenter sa chance sur le conseil d’Eugène Boudin. En 1866, il connaît le succès au Salon de peinture et de sculpture grâce à « La Femme à la robe verte » représentant Camille Doncieux qu’il épouse le 28 juin 1870. Il fuit la guerre de 1870 à Londres, puis aux Pays-Bas1. Dans la capitale anglaise, il fait la rencontre du marchand d’art Paul Durand-Ruel, qui sera sa principale source de revenus, pendant le reste de sa carrière. Revenu en France en 1871, il participe à la première exposition des futurs impressionnistes, en 1874.

 

 

 

 

 

 

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