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Louis Martin Bret (1898-1944) héros de la résistance


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1959

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Marseille le 24 avril 1959

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Marseille le 24 avril 1959
Vente générale : 27 avril 1959
Retrait de la vente : 18 septembre 1959
Valeur faciale : 20 f
Graveur : Charles Mazelin

Dessinateur : Raoul Serres

Département concerné par ce timbre : Bouches-du-Rhône
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : brun rorage et brun clair
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 3.100.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1201
Catalogue Spink / Maury France : N° 1201
Catalogue Michel : N° FR 1244
Catalogue Scott : N° FR 918
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,24 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,15 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,13 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Grands résistants de la seconde guerre

 


Informations sur le sujet du timbre

Louis Martin-Bret

né à Marseille le 18 juillet 18981,2, est un résistant affilié au mouvement «Combat» et chef des Mouvements unis de la Résistance (MUR) du département des Basses-Alpes (actuelles Alpes-de-Haute-Provence).
Louis Martin-Bret prend part au côté du colonel Jean Vial, chef départemental des Groupes francs de l'Armée secrète, à des ravitaillements, des attaques sur l'ennemi ainsi que sur des collaborateurs de Vichy. Le groupe procède à des attaques et des sabotages d'usines vitales au fonctionnement de l'industrie militaire allemande comme celle de Gardanne. Le groupe est rattaché au réseau Combat en 1942.
Devenu chef départemental de la résistance des Basses Alpes à travers le comité départemental de Libération, il multiplie les réunions afin de préparer le soutien au débarquement de Provence. Il tombe dans une souricière tendue par la Gestapo et la Milice à Oraison, le 16 juillet 1944. Des camions transportant des miliciens déguisés en résistants bloquent les issues du village et simulent une attaque de poste allemand. Vers 15h00, les miliciens arrêtent les membres du Conseil de la Résistance. Les onze camarades sont emmenés à Marseille et torturés au 425 de la rue Paradis. Aucun ne cède et personne ne trahit la cause. Le 18 juillet, ils sont conduits dans le vallon de Signes, dans le Var où ils sont passés par les armes
Source Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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