Cachet premier jour 
Premier jour :
Oblitération 1er jour à Melun le 23 février 1963Vente générale : 25 février 1963
Retrait de la vente : 12 octobre 1963
Valeur faciale : 20 c + 10 c
Graveur : Albert Decaris
Dessinateur : Albert Decaris
Département concerné par ce timbre : Yonne Dentelure : Dentelé 13Couleur : brun lilas gris et violetMode d'impression : Taille douceFormat du timbre : 40 x 26 mm (vignette 36 x 21,45 mm bords externes des filets)Quantite émis : 1.950.000Présentation : Feuille de 50 timbresCatalogue Yvert et Tellier : Courant / moderne - N° 1370Catalogue Spink / Maury : Courant / moderne - N° 1370Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,25 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,24 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Timbres présentants : Les Ecrivains, philosophes, historiens, poêtes
De gauche à droite : Jacques Amyot, Etienne Méhul, Pierre de Marivaux, Nicolas Vauquelin, Jacques Daviel et Alfred de Vigny
Informations sur le sujet du timbre Jacques Amyot
né à Melun le 30 octobre 1513 et mort à Auxerre le 6 février 1593, est un prélat français et l'un des traducteurs les plus renommés de la Renaissance. Il est inhumé à Auxerre
On lui doit la traduction de sept ouvrages de Diodore de Sicile (1554), les Amours pastorales de Daphnis et Chloë de Longus (1559) et les Oeuvres morales de Plutarque (1572). Sa traduction vigoureuse et idiomatique des Vies des hommes illustres a été retraduite en anglais par Thomas North et a fourni à Shakespeare la matière de ses pièces romaines. La première traduction est publiée en 1559 mais elle est revue et corrigée en 1565 et 1567.
Amyot s'intéressa surtout à Plutarque. Il ne publia pas sa traduction de Diodore, dont il avait pourtant découvert le manuscrit. L'intérêt de son travail réside aujourd'hui surtout dans son style. Son ouvrage eut un immense succès et exerça une grande influence sur plusieurs générations d'écrivains français. Montaigne lui rend un chaleureux hommage dans ses Essais (II-4) : « Je donne, avec raison, ce me semble, la palme à Jacques Amyot sur tous nos écrivains français » et : « Nous autres ignorants étions perdus, si ce livre ne nous eût relevés du bourbier »
Source Wikipédia