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Croix Rouge

Retable des Antonins d'Issenheim - Colmar


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1985

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Colmar le 16 novembre 1985

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Colmar le 16 novembre 1985
Vente générale : 25 novembre 1985
Retrait de la vente : 11 juillet 1986
Valeur faciale : 2 f 20 + 50 c
Prix de vente : 2f 70 dont une surtaxe de 0.50 c au profit de la Croix-Rouge
Dessinateur : Eugène Lacacque
Dentelure : 12½ x 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Format du timbre : 30 x 36 mm
Quantité émis : 3.500.000
Présentation : Carnet de 10 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 2392
Catalogue Spink / Maury France : N° 2397
Catalogue Michel : N° FR 2523A
Catalogue Scott : N° FR B574
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,28 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,24 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Croix Rouge

 


Informations sur le sujet du timbre
Croix Rouge 

Le retable d'Issenheim (Image Wikipédia)

 

Timbre au profit de la Croix Rouge repésentant une partie du retable d'Issenheim .
Le retable d'Issenheim (ou d'Isenheim), consacré à saint Antoine, provient du couvent des Antonins à Issenheim, au sud de Colmar, où il ornait le maître-autel de l'église de la préceptorerie. Il est l'oeuvre de deux grands maîtres allemands du gothique tardif : le peintre Matthias Grünewald, dont il constitue le chef-d'oeuvre, pour les panneaux peints (1512-1516) et Nicolas de Haguenau pour la partie sculptée antérieure (autour de 1490).
 Ce chef d'oeuvre a été réalisé pour la commanderie des Antonins d'Issenheim. Située près de Colmar, la commanderie avait pour vocation de soigner les malades atteints du « mal des ardents » ou « feu de saint Antoine ». Cette maladie, provoquée par l'ingestion de farines contaminées par l'ergot du seigle, était un véritable fléau au Moyen Age. A Issenheim, les malades étaient conduits devant le retable placé dans le choeur de l'église et recevaient des soins à base de plantes calmantes. Le retable avait pour fonction de les réconforter et de les consoler, avec sa représentation réaliste et douloureuse de la Crucifixion et de la Résurrection. Le retable a probablement été commandé par le supérieur de la commanderie : Guy Guers.
Ce polyptique à doubles volets est composé de sept panneaux de bois de tilleul et de dix sculptures. Il est conçu pour proposer trois présentations différentes, déterminées par le calendrier lithurgique.

Texte créé par le concepteur du site d'après divers documents.
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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