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Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Saint-Jean de Luz le 13 septembre 1997

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Saint-Jean de Luz le 13 septembre 1997
Vente générale : 15 septembre 1997
Retrait de la vente : 13 mars 1998
Valeur faciale : 3 f
Graveur : Pierre Forget

Dessinateur : Pierre Forget

Dentelure : 13½ x 13
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 40 x 26 mm ( image 36 x 21,45 mm )
Quantité émis : 8.496.509
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 3103
Catalogue Spink / Maury France : N° 3090
Catalogue Michel : N° 3231
Catalogue Scott : N° 2607
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,34 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,08 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


 


Informations sur le sujet du timbre
À l’origine, le mot « corsaire » désigne le navire armé pour la guerre de Course. Activité « légale », la « course » est à distinguer de la piraterie. Le corsaire combat pour son roi. Quiconque ne peut s’improviser corsaire. Il faut obtenir une autorisation, dite « lettre de marque » délivrée par l’Amirauté et pour laquelle le commanditaire paiera une forte caution. Pour financer ces entreprises couteuses mais ô combien lucratives, des sociétés par actions étaient créées. Au retour de l’expédition, les actionnaires étaient rétribués en fonction des parts souscrites. La course n’est pas simplement un acte de guerre. C’est aussi un acte commercial. Il s’agit de récupérer le navire ennemi, de s’emparer de sa cargaison et de faire prisonnier le plus grand nombre possible de matelots, « marchandises » d’échange contre les marins français qui croupissaient sur les pontons anglais. La technique d’assaut la plus efficace était le matelotage, abordage au moyen de 2 bateaux. Victimes privilégiées, les galions espagnols et portugais qui, d’Amérique de Sud ou d’Afrique, rentraient au pays, les cales remplies d’or. Au retour de l’expédition, la cargaison était vendue et le produit partagé entre le bureau de l’Inscription Maritime, l’Amiral de France, le Roi, l’Armateur et l’équipage. Les corsaires basque les plus connus « Renau d’Elissagaray » , ou « d’Albarade » devenu ministre de la Marine en 1794 qui ont contribué à écrire l’histoire maritime de la France.
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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