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Arménie-France

L'ange au Sourire - statue sur la façade occidentale de la cathédrale de Reims


D'après photo Phil@poste Nativité, année 1450, Tzaghkogh Minas, Maténadaran, manuscrit N 982

Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2007

 

Oblitération 1er jour à Paris le 22 mai 2007
Cachet premier jour créé par : Jean Paul Cousin

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 22 mai 2007
Vente générale : 22 mai 2007
Retrait de la vente : 28 mars 2008
Valeur faciale : 0.85 €
Affranchissement le plus courant : Lettre Prioritaire jusqu'à 20gr vers la zone B ( Monde, hors Union européenne, Suisse)
Mise en page : Aurélie Baras

Département concerné par ce timbre : Marne
Dentelure : 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Format du timbre : 30 x 40 mm
Quantité émis : Pas d'information fiable
Présentation : Feuille de 48 timbres
Bande phosphore : 2 bandes
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 4059
Catalogue Spink / Maury France : N° 4058
Catalogue Michel : N° FR 4273
Catalogue Scott : N° FR 3336
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,70 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,28 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects

 


Informations sur le sujet du timbre

L'Ange au Sourire

dénommé aussi Sourire de Reims, est une statue dont l'original avait été sculpté entre 1236 et 1245. Cette statue se trouve au portail nord de la façade occidental de la cathédrale de Reims.
Les anges de la cathédrale de Reims sont bien connus des érudits du XIXe et du début XXe pour leur gracieux sourire.
Statue alors anonyme, l'Ange est décapité par une poutre de l'échafaudage en flammes, lors de l'incendie de la cathédrale de Reims, le 19 septembre 1914. Après une chute de quatre mètres cinquante, elle se brise au sol en plus d'une vingtaine de morceaux. La tête de l'Ange au Sourire est ramassée par l'abbé Jules Thinot, dès le lendemain de l'incendie, et mise en sûreté dans les caves de l'archevêché de Reims. C'est là qu'elle est découverte par l'architecte Max Sainsaulieu, le 30 novembre 1915. Elle sert alors de support pour la propagande française, devenant le symbole du génie français et du patrimoine détruit par l'armée allemande.
Après la guerre et à partir des fragments d'origine et d'un moulage conservé au musée des monuments français (ancien Palais du Trocadéro), cette célèbre figure est reconstituée et remise à sa place, le 13 février 1926.
Source WIKIPEDIA

 

 

 

 

 

 

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