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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 30/11/2023

Frédéric Passy 1822-1912

« l’Apôtre de la Paix » prix Nobel de la Paix en 1901


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2022

 

Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS le 7 et 8 octobre 2022
Cachet premier jour créé par : Ségolène Derudder

 

Premier jour : Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS le 7 et 8 octobre 2022
Vente générale : 10 octobre 2022
Retrait de la vente : 31 octobre 2023
Valeur faciale : 1.65 €
Affranchissement le plus courant : Lettre prioritaire 20g pour l'international
Graveur : Pierre Albuisson

Création : Ségolène Derudder
Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 30 x 40,85 mm
Quantité émis : 495.000.
Présentation : Feuille de 15 timbres
Bande phosphore : 2 barres
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 5626
Catalogue Michel : N° FR 8347
Catalogue Scott : N° FR 6313
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,88 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,43 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Hommes politiques, militaires, rois, marchands

 


Informations sur le sujet du timbre

Frédéric Passy

né le 20 mai 1822 à Paris et mort le 12 juin 1912 à Neuilly-sur-Seine, est un économiste et homme politique français. Membre de l'Institut et lauréat du prix Nobel de la paix,
Source Wikipédia
Bien en avance sur son temps, il se bat avec éloquence pour la réduction du temps de travail des ouvriers, pour la généralisation de l’instruction féminine, contre le colonialisme, le travail des enfants, la peine de mort. Révolté par l’injustice, il s’engage dans la défense du capitaine Dreyfus. Dans la lignée de Bastiat et de Laboulaye, il prône le libre-échange qui doit renforcer le lien entre les nations, au détriment des affrontements belliqueux. À partir de 1856, il dénonce publiquement le recours trop systématique à la guerre, tout en admettant qu’un pays s’y prépare pour garantir son indépendance. Jusqu’à sa mort, le 12 juin 1912 à Neuilly, il n’aura de cesse de « répandre l’esprit de désarmement » : fondation en 1867 de la Ligue internationale et permanente de la paix, devenue en 1889 la Société française pour l’arbitrage entre nations fondation en 1889, avec le député britannique Randal Cremer, de l’Union interparlementaire qui contribuera à la création de la Cour permanente d’arbitrage de La Haye en 1899. Son inlassable engagement est couronné en 1901 par le premier prix Nobel de la Paix, qu’il partage avec le fondateur de la Croix-Rouge, Henry Dunant
Source © La Poste - Agnès Paulian

 

 

 

 

 

 

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