Fermer

 

Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 30/11/2023

Madame de la Fayette 1634-1693


D'après photos (c) adocphotos : Chromolithographie Objets de parure et joaillerie en France au 17ème siècle extraite de «Le costume historique» d'Auguste Racinet.

Timbre : Feuille


Listage des timbres de l'année 2023

 

Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins PARIS le 19 et 20 mai 2023
Cachet premier jour créé par : Séverine Perrier

 

Premier jour : Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins PARIS le 19 et 20 mai 2023
Vente générale : 22 mai 2023
Valeur faciale : 17.40 €
Affranchissement le plus courant : Lettre verte 20g pour la France, Andorre et Monaco
Création : Séverine Perrier
Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Format de la feuille : 143 x 135 mm
Quantité émis : 47.000.
Présentation : Feuille de 15 timbres
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier France : N° F99

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 


Informations sur le sujet du timbre

Mme de la fayette

Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette , baptisée le 18 mars 1634 en l'église Saint-Sulpice de Paris et morte le 25 mai 1693 dans la même ville, est une romancière et épistolière française du Grand Siècle.
Source Wikipédia
Madame de La Fayette, est l’une des plus grandes auteures féminines du XVIIe siècle. Issue de la petite noblesse, la jeune fille est introduite à l’adolescence dans les salons littéraires à la mode grâce à l’amitié de Madame de Sévigné. Elle s’y distingue par sa curiosité, sa culture et son intelligence. Elle y fréquente les beaux esprits de son temps, notamment la future duchesse d’Orléans, Henriette d’Angleterre, le grammairien mondain Gilles Ménage, avec lequel elle fait ses premiers pas en latin, espagnol et italien. En 1655, elle épouse le comte de La Fayette, dont elle aura deux fils. Ce gentilhomme campagnard vivant la plupart du temps retiré sur ses terres, la jeune femme peut se livrer sans contrainte à sa passion de l’écriture. Rompant avec le genre précieux de l’époque, elle publie, sans les signer, deux livres : La Princesse de Montpensier (1662) et Zaïde (1669). Madame de La Fayette a ouvert la voie au roman psychologique et analytique. Son chef-d’œuvre La Princesse de Clèves (1678) décrit les mœurs de la cour et étudie le cheminement de la passion et de ses tourments.
Source © La Poste - Fabienne Azire -

 

 

 

 

 

 

Fermer

 

Cette page a été visitée 8 378 650 fois depuis le 1er mai 2022