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Vente générale : 21 septembre 1948
Retrait de la vente : 14 mars 1947
Valeur faciale : 12 f
Graveur : Gabriel Antonin Barlangue
Dessinateur : Gabriel Antonin Barlangue
Département concerné par ce timbre : Ain Dentelure : Dentelé 13Couleur : rose carminéMode d'impression : Taille douceFormat du timbre : 40 x 26 mm (vignette 36 x 21,45 mm bords externes des filets)Quantite émis : 2.000.000Présentation : Feuille de 50 timbresCatalogue Yvert et Tellier : Courant / moderne - N° 817Catalogue Spink / Maury : Courant / moderne - N° 817Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,26 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,11 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,23 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Timbres présentants : Les Chateaux, ponts, cathédrales, églises, villas
Informations sur le sujet du timbre Le barrage de Génissiat
est le deuxième barrage et la deuxième centrale hydroélectrique française construite sur le Rhône, le premier aménagement étant la centrale hydroélectrique de Cusset.
L'aménagement du haut Rhône fut envisagé dès 1906 par les ingénieurs Blondel, Harlé et Mähl, puis lors de la «Mégawatt Mania» boursière des années 1920, mais resta momentanément au stade de l´étude au profit du port de Lyon. Il ne fut engagé véritablement qu'en 1933 sous l'impulsion de deux hommes : le sénateur Léon Perrier et Édouard Herriot, ancien président du Conseil et maire de Lyon.
Programmée en 1933, la construction du barrage de Génissiat (sur les communes d'Injoux-Génissiat et de Franclens) commence en 1937 et, en 1939, le fleuve est coupé pour jeter les fondements de l'ouvrage. La guerre met un frein au chantier qui est même noyé en 1940. Les travaux se poursuivent néanmoins, mais il faudra attendre 1948 pour que débute la mise en eau et que soit inauguré le barrage.
La hauteur du barrage est de 104 mètres.
La hauteur maximum de chute est de 67 mètres.
Le débit turbinable total de la centrale hydroélectrique est de 750 m3/s.
La centrale est composée de 6 turbines verticales de type Francis de 66 MW chacune
Une société, la Compagnie nationale du Rhône, est créée spécialement pour cet aménagement.
Les architectes sont Albert Laprade et Léon Bazin
Source Wikipédia
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