Fermer

 

Robert Surcouf (1773-1827)


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1951

Listage des timbres de l'année 1951

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Saint Malo le 12 juin 1951

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Saint Malo le 12 juin 1951
Vente générale : 4 juin 1951
Retrait de la vente : 13 octobre 1951
Valeur faciale : 12 f + 4 f
Graveur : Charles Mazelin

Dessinateur : Charles Mazelin

Département concerné par ce timbre : Ile-et-Vilaine
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : violet brun
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1.400.000
Présentation : Feuille de 25 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 894
Catalogue Spink / Maury France : N° 894
Catalogue Michel : N° FR 912
Catalogue Scott : N° FR B261
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 2,25 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 1,31 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 1,88 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Explorateurs, navigateurs, découvreurs

 


Informations sur le sujet du timbre

Robert Charles Surcouf

(12 décembre 1773 à Saint-Malo - 8 juillet 1827 à Saint-Servan) est un corsaire français.
Aguerri très tôt aux choses de la mer il embarque dès l'âge de 13 ans comme mousse
Après cette première expérience, il embarque le 3 mars 1789 sur l'Aurore, navire marchand de 700 tonnes commandé par le capitaine Tardivet, en partance vers les Indes pour y faire le commerce d'esclaves. Surcouf n'a pas encore 16 ans.
Dès 1795 il se lance dans la course contre les navires de commerce anglais et écume les eaux de l'océan indien. Il y acquiert une réputation de redoutable corsaire, faisant des prises exceptionnelles. Le Triton puis le Kent tombent sous ses attaques, faisant de lourdes pertes chez les Anglais qui mettent alors sa tête à prix. Malgré le nombre de croiseurs anglais dévolus à sa capture, il parvient à rentrer à Saint-Malo en 1802, à la tête d'un trésor de guerre estimé à 2 millions.
La rupture de la paix d'Amiens le relance dans la course en 1807 et il ramènera d'autres prises accumulées, une fois de plus, dans les mers indiennes où les navires anglais sont nombreux. Il rallie Saint-Malo en 1809 .
Après s'être distingué comme chef de légion lors des Cent-Jours, il devient baron d'Empire et se range ensuite des choses de la guerre. Reprenant le commerce maritime après 1815, il deviendra l'un des plus riches armateurs de Saint-Malo
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

 

 

 

 

 

Fermer

 

Cette page a été visitée 8 379 622 fois depuis le 1er mai 2022