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Jean Goujon (1510-1567) sculpteur


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1956

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 9 juin 1956

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 9 juin 1956
Vente générale : 11 juin 1956
Retrait de la vente : 6 juillet 1957
Valeur faciale : 12 f + 3 f
Graveur : Charles Paul Dufresne

Dessinateur : Louis Muller

Dentelure : Dentelé 13
Couleur : gris violet
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1.100.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1067
Catalogue Spink / Maury France : N° 1067
Catalogue Michel : N° FR 1095
Catalogue Scott : N° FR B304
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,44 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 1,00 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 1,50 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects

 


Informations sur le sujet du timbre

Jean Goujon

né vers 1510, probablement en Normandie, et mort probablement à Bologne, vers 1566, est un sculpteur et architecte français.
Ses premières oeuvres connues datent de 1541 lorsqu'il réalise les bas-reliefs du château d'Écouen pour la famille de Montmorency, les portes de Saint-Maclou et le tombeau de Louis de Brézé à Rouen.
En 1544, on le retrouve à Paris au jubé de l'église Saint-Germain-l'Auxerrois où il témoigne de sa parfaite connaissance de l'art antique classique. Les reliefs du jubé, détruit en 1745, sont conservés au musée du Louvre (Déploration du Christ, Les Quatre Évangélistes). On retrouve la même fluidité plastique dans le traitement des reliefs de la Fontaine des Innocents (encore en place mais modifiée au XVIIIe siècle – les reliefs du soubassement sont au Louvre), exécutée pour l'entrée du roi Henri II à Paris en 1549. Il exécute aussi les dessins pour les gravures de la relation imprimée de l'entrée royale. Il travaille aussi à la Tribune des Cariatides de la Salle des Gardes. Un arrêt de libération du 27 septembre 1555 nous apprend qu'il avait été emprisonné à la requête du bailli d'Étampes, où il avait travaillé, cela ne l'empêchent pas d'être choisi comme sculpteur pour le palais royal du Louvre lorsqu'il est libéré.
Il est vraisemblable que Jean Goujon quitte la France à la fin de l'année 1562, toujours pour des raisons religieuses. Sa présence est attestée à Bologne fin 1563 et début 1564
Source : divers documents internet dont Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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