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Alexandre Martin Albert (1815-1895) Ouvrier mécanicien puis homme politique


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1948

 

 

Vente générale : 5 avril 1948
Retrait de la vente : 19 septembre 1948
Valeur faciale : 5 f + 4 f
Graveur : Henry Cheffer

Dessinateur : Henry Cheffer

Département concerné par ce timbre : Oise
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : émeraude
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 2.000.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 798
Catalogue Spink / Maury France : N° 798
Catalogue Michel : N° FR 816
Catalogue Scott : N° FR B227
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,81 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,50 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,73 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Hommes politiques, militaires, rois, marchands

 


Informations sur le sujet du timbre

Alexandre-Albert Martin

né le 27 mars 1815 à Bury (Oise) et mort le 27 mai 1895 à Mello(Oise), et surnommé l'« ouvrier Albert », est un homme politique français connu pour son engagement socialiste lors de la Révolution de 1848
Fils de cultivateur, Alexandre-Albert Martin apprend le métier de mécanicien modeleur chez l'un de ses oncles. Quand éclate la Révolution de février 1848, Albert est ouvrier chez M. Jean-Félix Bapterosses. Il prend les armes le 23 février et, le 24 au soir, porté par sa réputation d'écrivain révolutionnaire et de travailleur ainsi que par son amitié avec Louis Blanc, il est nommé au sein du gouvernement provisoire. Il est élu représentant du peuple à l'Assemblée constituante dans le département de la Seine il quitte son poste après quelques jours. Le 15 mai, une violente manifestation populaire provoque une réaction de la Garde nationale. Albert, qui était à sa tête, est arrêté et emprisonné à Vincennes.
Lors de son procès devant la Haute Cour de justice, il refuse de se défendre, considérant le tribunal comme incompétent. Reconnu coupable, il est déporté à la citadelle de Belle-Île
Amnistié en 1859, il travaille à Paris comme inspecteur du matériel mais se tient à l'écart de la vie politique. En 1870, le gouvernement de la Défense nationale le nomme à la commission des Barricades, mais il est battu en 1871 aux élections à l'Assemblée nationale. En 1879, il essaie une dernière fois de se faire élire au Sénat, sans succès.
Source Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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