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Jean Siméon Chardin (1699-1779) autoportrait


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1956

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 9 juin 1956

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 9 juin 1956
Vente générale : 11 juin 1956
Retrait de la vente : 6 juillet 1957
Valeur faciale : 15 f + 5 f
Graveur : Claude Hertenberger

Dessinateur : Paul Pierre Lemagny

Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : vert
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 1.100.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1069
Catalogue Spink / Maury France : N° 1069
Catalogue Michel : N° FR 1097
Catalogue Scott : N° FR B306
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 2,38 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 1,38 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 2,38 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Peintres, sculpteurs, tableaux, architects

 


Informations sur le sujet du timbre

Jean-Baptiste Chardin

né à Paris le 02/11/1699 , Mort à Paris le 06/12/1779
Jean-Baptiste Siméon Chardin naît d'un père menuisier, fabricant de billard. D'abord élève du peintre d'histoire Pierre-Jacques Cazes, il poursuit son apprentissage artistique auprès de Noël Coypel. En 1724, il rejoint l'Académie de Saint-Luc avant d'être finalement accepté à l'Académie royale l'année suivante. Ses peintures la Raie et le Buffet, gigantesques natures mortes, ont contribué à cette admission. Ses thèmes picturaux tournent d'abord autour du gibier, puis du simple objet. Dans les années 1730, il évolue vers la réalisation de scènes de genre qui assure sa renommée auprès de la bourgeoisie (la Pourvoyeuse, 1739 , le Bénédicité, 1740). Après un retour aux natures mortes, sa popularité croît sans cesse. Logé au Louvre dès 1757, il reçoit plusieurs commandes royales. Les critiques, dont celles émises par Diderot, sont particulièrement élogieuses quant à son travail d'artiste. Malheureusement, sa vue baisse et le contraint à travailler les pastelles. Il peint alors plusieurs portraits et autoportraits.
Ref http://www.linternaute,com
Source : divers documents internet dont Wikipédia