Fermer

 

François Mansart (1598-1666) architecte


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1966

Listage des timbres de l'année 1966

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 12 février 1966

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 12 février 1966
Vente générale : 14 février 1966
Retrait de la vente : 10 septembre 1966
Valeur faciale : 30 c + 10 c
Graveur : Georges Bétemps

Dessinateur : Jean Pheulpin

Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : vert et violet brun
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 40 x 26 mm (vignette 36 x 21,45 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 3.320.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1471
Catalogue Spink / Maury France : N° 1471
Catalogue Michel : N° FR 1537
Catalogue Scott : N° FR B395
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,09 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,08 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 


Informations sur le sujet du timbre

François Mansart

né le 23 janvier 1598 à Paris, au faubourg Saint-Victor où il est mort le 23 septembre 1666, est un architecte français. Il est considéré comme le principal précurseur de l'architecture classique en France.
Sa première réalisation notable est la façade de l'église des Feuillants, dont il fournit le dessin en 1623. Cette composition rencontre un certain succès en son temps et est très inspirée de l'église Saint-Gervais-Saint-Protais (1616) de Salomon de Brosse. La même année il participe à la rénovation du château de Berny. Cette rénovation plaît à Jean de Choisy, chancelier du Duc d'Orléans, qui décide de lui confier la construction du château de Balleroy en 1631. Ce château présente déjà toutes la particularités du style de Mansart, les volumes sont pyramidant, les toits sont écrêtés et coiffés de lanternons et l'escalier est suspendu grâce une importante maîtrise de la stéréotomie. Cette composition reprend le plan du Château de Plessis-Belleville (1628) qu'il avait réalisé.
La plupart des nombreux édifices érigés par Mansart ont presque tous disparu et ne sont connus que par les gravures ou par la liste qu'en a laissée Charles Perrault. Aujourd'hui, il ne reste plus pour apprécier le talent de François Mansart, en dehors du Val-de-Grâce, que le château de Maisons-Lafitte. À Paris, il ne subsiste plus que la façade restaurée de l'hôtel Carnavalet, et le temple du Marais, rue Saint-Antoine.
Source : divers documents internet dont Wikipédia