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Alain René Le Sage (1668-1747) écrivain


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1968

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Sarzeau le 4 mai 1968

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Sarzeau le 4 mai 1968
Vente générale : 6 mai 1968
Retrait de la vente : 22 mars 1969
Valeur faciale : 40 c
Graveur : Jean Pheulpin

Dessinateur : Jean Pheulpin

Département concerné par ce timbre : Morbihan
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : violet et bleu
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm ( image 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 14.535.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 1558
Catalogue Spink / Maury France : N° 1558
Catalogue Michel : N° FR 1623
Catalogue Scott : N° FR 1211
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,09 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,08 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 


Informations sur le sujet du timbre

Lesage (Alain-René) ou Le Sage

né à Sarzeau le 8 mai 1668 et mort à Boulogne-sur-Mer le 17 novembre 1747, est un romancier et auteur dramatique français
Il commence par traduire plusieurs pièces issues de la littérature espagnole d'auteurs comme Francisco de Rojas Zorrilla, Lope de Vega ou Calderon.
Alain-René Lesage connaît son premier succès comme auteur dramatique en 1707 grâce à une pièce en un acte «Crispin, rival de son maître». La même année il publie un roman à succès «Le Diable boiteux», satire originale de la société française. Il atteignit, grâce à sa comédie de Turcaret ou le Financier, une hauteur que ni ses débuts ni la nature aimable de son talent ou l'indulgence de son caractère ne faisaient pressentir. L'auteur se montra, dans cette pièce, le digne élève de Molière et Turcaret est peut-être l'oeuvre qui se rapproche le plus des grandes créations de ce dernier.
Prolifique, il donne de 1712 à 1735 au Théâtre de la Foire une centaine de pièces, bluettes plus ou moins brillantes, mais qui, selon Lintilhac, contiennent «d'utiles renseignements sur sa conception de la vie et la meilleure des clés du Gil Blas».
C'est précisément ce roman, «Gil Blas de Santillane», qui, publié à partir de 1715, assure sa notoriété. Écrit en un style aisé et clair, d'aucuns le considèrent comme le roman le plus français de notre littérature.
Source : divers documents internet dont Wikipédia