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Temple de Borobudur à Java


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1979

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Paris le 24 février 1979

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris le 24 février 1979
Vente générale : 26 février 1979
Retrait de la vente : 7 septembre 1979
Valeur faciale : 1 f 80
Graveur : Jean Pheulpin

Dessinateur : Pierrette Lambertt
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : brun-clair et vert-bleu
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 40 x 40 mm
Quantité émis : 7.000.000
Présentation : Feuille de 25 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 2036
Catalogue Spink / Maury France : N° 2041
Catalogue Michel : N° FR 2142
Catalogue Scott : N° FR 1636
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,30 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,15 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Chateaux, ponts, cathédrale, églises, villas

 


Informations sur le sujet du timbre

Le temple de Borobudur

en indonésien Candi Borobudur, est une importante construction bouddhiste, construite aux VIIIe et IXe siècles à l'époque de la dynastie Sailendra dans le centre de l'île de Java en Indonésie.
Le site, construit aux alentours de l'an 800, semble avoir été abandonné vers l'an 1100.
Le temple est à la fois un sanctuaire dédié au Bouddha, mais aussi un lieu de pèlerinage bouddhiste. C'est à la fois un stûpa et, vu du ciel, un mandala. Il forme un carré d'environ 113 mètres de côté avec, à chaque point cardinal, une partie en saillie accompagnée aux quatre angles par une partie en retrait.
Il est constitué de quatre galeries successives de forme géométrique. Celles-ci sont superposées et les trois plus hautes forment une représentation de la cosmologie bouddhiste. Les bas-reliefs furent taillés in situ dans de la pierre volcanique grise par différents artisans qui réussirent néanmoins à préserver l'unité artistique du monument.
Un élément étonnant de ces galeries est l'existence d'une cinquième galerie enterrée, également couverte de bas-reliefs représentant essentiellement les turpitudes de la vie terrestre. Plusieurs hypothèses ont donc été émises pour expliquer la dissimulation de cette galerie comme une volonté de consolidation du bâtiment ou encore la volonté délibérée d'occulter les réalités terrestres.
Après avoir traversé les quatre galeries, le pèlerin atteint . Au centre de ces terrasses et donc au sommet du Borobudur, un autre stûpa couvre un bouddha inachevé, dont on ignore s'il a été rajouté après coup ou s'il était présent à l'origine
Source Wikipédia