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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 16/11/2023

Louise Labé (v 1524 - v 1566)


D’après photo P. Dantec / Musée national de la Marine et Jean-Paul Dumontier / LA COLLECTION et Science Photo Library / akg-images (pour le portrait)

Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2016

 

Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et au salon Philex le samedi 22 mai 2016
Cachet premier jour créé par : Éloïse Oddos

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre et au salon Philex le samedi 22 mai 2016
Vente générale : 23 mai 2016
Retrait de la vente : 24 février 2017
Valeur faciale : 1.40 €
Affranchissement le plus courant : Lettre prioritaire jusqu'à 100g vers la France, Andorre et Monaco et au départ de la France métropolitaine vers les DOM
Graveur : Line Filhon

Création : Éloïse Oddos

Département concerné par ce timbre : Rhône
Dentelure : 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 40,85 x 30 mm
Quantité émis : 1.000.320.
Présentation : Feuille de 48 timbres
Bande phosphore : 1 bande à droite
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 5062
Catalogue Spink / Maury France : N° 5022
Catalogue Michel : N° FR 6471
Catalogue Scott : N° FR 5040
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,05 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,38 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Personnages inclassables

 


Informations sur le sujet du timbre

Louise Labé

également surnommée « Louïze Labé Lionnoize » et « la Belle Cordière », est née vers 1524 à Lyon et est décédée le 25 avril 1566 à Parcieux-en-Dombes. C’est une poétesse française de la Renaissance et l’une des principales figures de l’École de Lyon. Son œuvre, bien que mince en volume (662 vers), est composée d’un Débat de Folie et d’Amour en cinq dialogues en prose, de trois Élégies en décasyllabes, et de vingt-quatre sonnets également en décasyllabes. Ces écrits portent sur l’amour éprouvé par les femmes, et les tourments qu’il peut entraîner. Ses écrits font partie du canon littéraire depuis sa redécouverte au XIXe siècle.
Elle était la fille de Pierre Charly, qui avait repris le surnom de son beau-père, un cordier prospère, et s’était fait appeler Pierre Labé. Louise Labé a également repris le pseudonyme de son père et a été surnommée La Belle Cordière en raison du métier de son père, puis de son mari. Elle aurait été la femme d’Ennemond Perrin, un riche marchand de cordes, qui possédait plusieurs maisons à Lyon et aurait trouvé dans la fortune de son mari un moyen de satisfaire sa passion pour les lettres.
Source : divers documents internet dont Wikipédia