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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 20/11/2023

Pèse-lettres et balances postales 

Balance Romaine 


© Coll. Musée de la Poste, Paris / La Poste

Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2017

 

Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre, le 11 novembre 2017 et au Salon philatélique d'automne, Espace Champerret Hall A du 9 au 12 novembre 2017
Cachet premier jour créé par : Stéphane Humbert-Basset

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris au Carré d'Encre, le 11 novembre 2017 et au Salon philatélique d'automne, Espace Champerret Hall A du 9 au 12 novembre 2017
Vente générale : 13 novembre 2017
Retrait de la vente : 31 aout 2018
Valeur faciale : 0.73 €
Affranchissement le plus courant : Lettre Verte 20g
Graveur : Pierre Bara

Création : Pierre Bara

Dentelure : Dentelé 13¼
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Offset et taille-douce
Format du timbre : 26 x 40 mm
Quantité émis : 320.000.
Présentation : Bloc feuillet de 6 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 5191
Catalogue Michel : N° FR 6918
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,70 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,50 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Services postaux, facteurs, véhicules

 


Informations sur le sujet du timbre

La balance romaine

est une balance qui se compose d’un fléau suspendu par une anse qui le divise en deux bras inégaux. Le bras le plus court porte un bassin (appelé « romaine ») ou un crochet (« quintalier ») destiné à soutenir l’objet à peser. L’équilibre est obtenu à l’aide d’un poids constant (curseur) qui, au moyen d’un anneau, glisse sur le bras le plus long. Ce seul poids mobile permet de peser divers objets. L’équilibre a lieu lorsque le fléau est horizontal.
La balance romaine a toujours deux anneaux de suspension on se sert de l’un ou de l’autre selon les cas. Pour un produit peu lourd, on suspend l’instrument par celui des anneaux qui permet d’atténuer un peu l’inégalité des longueurs des deux bras. Pour les matières pesantes, on prend, tout au contraire, l’anneau qui accuse cette inégalité. Aussi le bras long d’un bon instrument porte-t-il deux séries de divisions figurant des poids, les uns sous-multiples et les autres multiples d’un même étalon.
Source : divers documents internet dont Wikipédia