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Vente générale : 27 janvier 1942
Retrait de la vente : 31 octobre 1944
Valeur faciale : 80 c
Graveur : Georges Hourriez

Dessinateur : Paul Pierre Lemagny

Dentelure : 14 x 13½
Couleur : vert jaune
Mode d'impression : Typographie
Format du timbre : 20 x 24 mm (vignette 18x22 bords externes des filets)
Quantité émis : Pas d'information fiable
Présentation : Feuille de 100 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 513
Catalogue Spink / Maury France : N° 513
Catalogue Michel : N° FR 520
Catalogue Scott : N° FR 436
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,05 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,04 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,04 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Hommes politiques, militaires, rois, marchands

 


Informations sur le sujet du timbre

Philippe Pétain

communément appelé le maréchal Pétain, né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour (Pas-de-Calais) et mort le 23 juillet 1951 à Port-Joinville, sur l'île d'Yeu (Vendée), est un militaire, diplomate et homme d'État français.
Chef militaire à l'action importante au cours de la Première Guerre mondiale. Il est nommé commandant en chef des forces françaises et occupe ce poste jusqu'à la fin de la guerre. Il est fait maréchal de France en novembre 1918.
Rappelé au gouvernement le 17 mai 1940 il fait signer l'armistice du 22 juin 1940 avec l'Allemagne d'Adolf Hitler à Rethondes, dans un wagon de train. Installé à Vichy à la tête d'un régime autoritaire, il abolit les institutions républicaines et les libertés fondamentales, instaure des lois antisémites. Le régime qu'il dirige jusqu'en 1944 est déclaré « illégitime, nul et non avenu » par le général de Gaulle à la Libération.
Pétain est jugé en juillet 1945 pour intelligence avec l'ennemi et haute trahison par la Haute Cour de justice, il est, par arrêt du 15 août 1945, frappé d'indignité nationale, condamné à la confiscation de ses biens et à la peine de mort, la cour recommandant la non-application de cette dernière en raison de son grand âge. Sa peine est commuée en emprisonnement à perpétuité par le général de Gaulle, alors chef du gouvernement provisoire de la République française. Il meurt en détention sur l'île d'Yeu, où il est ensuite inhumé.
Source Wikipédia