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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 23/11/2023

Louise de Bettignies 1880 - 1918


D'après photos fonds Mairie de Saint-Amand-les-Eaux

Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2018

 

Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et à Saint-Amand-les-Eaux (59) Jardin de l’Abbaye, salle Jean Ferrat, le 28 et 29 septembre 2018 
Cachet premier jour créé par : Éloïse Oddos

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et à Saint-Amand-les-Eaux (59) Jardin de l’Abbaye, salle Jean Ferrat, le 28 et 29 septembre 2018 
Vente générale : 1 octobre 2018
Retrait de la vente : 31 juillet 2019
Valeur faciale : 0.80 €
Affranchissement le plus courant : Lettre Verte 20g France, Monaco, Andorre
Création : Éloïse Oddos

Département concerné par ce timbre : Nord
Dentelure : Dentelé 13¼
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Héliogravure
Format du timbre : 30 x 40.85 mm
Quantité émis : 500.000.
Présentation : Feuille de 42 timbres
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 5266
Catalogue Michel : N° FR 7171
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,63 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,20 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Grands résistants de la seconde guerre

 


Informations sur le sujet du timbre
Louise de Bettignies 1880 - 1918 

Louise de Bettignies (Image Wikipédia)

 

Louise de Bettignies

naît en 1880 à Saint-Amand. Quand la guerre éclate, elle rentre à Lille. Dès le siège de la ville, elle s'illustre en ravitaillant, sous la mitraille, ses défenseurs, puis en soignant les blessés. Elle s'engage auprès des services secrets britanniques et prend le nom d'Alice Dubois, met sur pied un réseau d'informateurs et renseigne sur les mouvements, les positions des forces ennemies.
Sa fougue et son courage ne s'éteignent pas malgré son arrestation, après une dénonciation probable, le 20 octobre 1915 près de Tournai. Incarcérée à Bruxelles, elle est condamnée à mort pour espionnage en mars 1916, peine commuée en détention perpétuelle. Enfermée à la forteresse de Siegburg, elle se révolte et convainc ses codétenues de refuser de fabriquer du matériel de guerre. Mise au cachot, elle tombe malade. Affaiblie, mal soignée, opérée sans hygiène, elle meurt en septembre 1918 à Cologne. Son corps est rapatrié à Saint-Amand en 1920.
Source communiqué de presse de la Poste