Fermer

 

Madame de Sévigné (1626-1696) femme de lettres


Timbre : Courant / moderne



Voir tous les timbres courants de l'année 1950

Listage des timbres de l'année 1950

 

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Grignan le 25 novembre 1950
Vente générale : 27 novembre 1950
Retrait de la vente : 5 mai 1951
Valeur faciale : 15 f
Graveur : Achille Ouvré

Dessinateur : Achille Ouvré

Département concerné par ce timbre : Paris
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : bleu clair
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm (vignette 21,45 x 36 mm bords externes des filets)
Quantité émis : 3.000.000
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : Sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 874
Catalogue Spink / Maury France : N° 874
Catalogue Michel : N° FR 892
Catalogue Scott : N° FR 642
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,20 €
Valeur marchande timbre neuf avec charnière : 0,14 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,13 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Poètes, écrivains, philosophes, historiens

 


Informations sur le sujet du timbre

Madame de Sévigné

Née le 5 février 1626 à Paris, Marie de Rabutin-Chantal, baronne de Sévigné, dite la marquise de Sévigné, marque la gloire du style épistolier au XVIIème siècle. Ses écrits sont émaillés d'un vocabulaire à la fois divertissant et intelligent. Quand son mari est tué lors d'un duel contre Miossens, chevalier d'Albret pour Madame Gondran, sa maîtresse. Elle décide alors de vivre à Paris pour se consacrer exclusivement à l'éducation de ses enfants et à sa vie mondaine. Elle présenta sa fille à la cour, et la maria en 1669 au comte de Grignan, deux fois veuf, et lieutenant général en Provence. Mme de Grignan dut, en 1671, rejoindre son mari. Cette séparation fut douloureuse : Mme de Sévigné idolâtrait sa fille. Et nous lui devons la plus grande et la plus vivante partie des lettres de la marquise. C'est donc pour distraire sa fille, qui s'ennuyait au milieu des fêtes et des tracasseries de la société provençale que Mme de Sévigné entreprend de transposer Paris et Versailles à Aix. Elle lui écrit tous les jours pour la tenir au courant de tout ce qui pouvait l'intéresser mais surtout elle lui parlait de ses sentiments : l'amour maternel, avec toutes ses nuances, tantôt exalté, tantôt inquiet, tantôt désolé, tantôt joyeux. Ces lettres constituent également un témoignage de premier ordre sur les temps de Mme de Sévigné, la société et la cour de Louis XIV
Source : divers documents internet dont Wikipédia