Retour

Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 10/10/2023

 

400

 

400 ans Jean de la Fontaine 1621-1695


vente anticipée : Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins, 75009 PARIS et 14 rue Jean de la Fontaine, 02400 CHÂTEAU-THIERRY.du 8 au 10 juillet 2021
Vente générale : 12 juillet 2021
Retrait de la vente : 31 juillet 2022
Valeur faciale : 2.16 €
Graveur : Christophe Laborde-Balen
Dessinateur ou mise en page: Christophe Laborde-Balen
Dentelure : 13 x 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Taille douce
Quantite émis : 310.000.
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5510
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,63 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 1,13 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 

Informations sur le visuel
Sur les timbres et le fond de bloc, on retrouve les fables suivantes : La grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf , le loup et le chien, le rat de ville et le rat des champs, la poule aux œufs d'or, le lièvre et la tortue, le coche et la mouche, le corbeau et le renard, le lion amoureux, le pot de terre et le pot de fer et la cigale et la fourmi.

 

Informations complémentaires

Jean de la Fontaine

Bénéficiant dès 1658 du prestigieux mécénat de Fouquet, il lui resta fidèle même après sa chute, mais dut s’accommoder d’une situation moins brillante et se mettre à la recherche d’autres protecteurs. Après quelques essais passés plus ou moins inaperçus, il connut son premier succès littéraire à seulement 43 ans, avec la parution en 1665 des Contes et nouvelles en vers, puis du premier recueil de Fables en 1668. La fortune considérable que rencontrèrent ces deux ouvrages l’incita à éditer deux autres recueils de Fables en 1678-1679 et 1693, dédiés à Madame de Montespan et au petit-fils de Louis XIV, le duc de Bourgogne, et à faire paraître en 1674 sans privilège ni permission ses licencieux Nouveaux Contes, dont la vente fut aussitôt interdite. Tenu à l’écart de la faveur royale, il lui fallut attendre 1684 pour entrer à l’Académie française. Partagé entre Paris, siège de la vie littéraire et lieu de résidence de ses divers protecteurs, et Château-Thierry, où l’appelait sa charge de maître des eaux et forêts, il profita sans doute de ses séjours dans sa ville natale pour composer une grande partie de son œuvre. L’hôtel dont il avait hérité de son père et qu’il fut contraint de vendre en 1676, aujourd’hui transformé en musée, conserve le souvenir de son cabinet de travail.
Le poète mourut le 13 avril 1695 à Paris.
Source © La Poste - Ville de Château-Thierry – Musée Jean de La Fontaine - Tous droits réservés