TIMBRES DE FRANCE
Ex : 50 c
Ex : 456
Ex : Appel du 18 juin
Ex : 1900
Ex : Femme
mini 4 lettres
Création du site : Juillet 2005
Nombre de visiteurs : 27.212.416
Nombre de pages : 100.091.810
Dernière mise à jour 23-04-2024
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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 23/11/2023
Louise de Bettignies 1880 - 1918
vente anticipée : Oblitération 1er jour à Paris au carré d'Encre et à Saint-Amand-les-Eaux (59) Jardin de l’Abbaye, salle Jean Ferrat, le 28 et 29 septembre 2018
Vente générale : 1 octobre 2018
Retrait de la vente : 31 juillet 2019
Valeur faciale : 0.80 €
Dentelure : Dentelé 13¼
Couleur : Quadrichromie
Mode d'impression : Héliogravure
Quantite émis : 500.000.
Bande phosphore : 1 barre à droite
Catalogue Yvert et Tellier : N° 5266
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,63 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,20 €
La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange
Informations sur le visuel
La maison natale de Louise de Bettignies à Saint-Amand-LesEaux est représentée sur le côté droit du timbre.
Sa fougue et son courage ne s'éteignent pas malgré son arrestation, après une dénonciation probable, le 20 octobre 1915 près de Tournai. Incarcérée à Bruxelles, elle est condamnée à mort pour espionnage en mars 1916, peine commuée en détention perpétuelle. Enfermée à la forteresse de Siegburg, elle se révolte et convainc ses codétenues de refuser de fabriquer du matériel de guerre. Mise au cachot, elle tombe malade. Affaiblie, mal soignée, opérée sans hygiène, elle meurt en septembre 1918 à Cologne. Son corps est rapatrié à Saint-Amand en 1920.
Source communiqué de presse de la Poste
La maison natale de Louise de Bettignies à Saint-Amand-LesEaux est représentée sur le côté droit du timbre.
Informations complémentaires
Louise de Bettignies
naît en 1880 à Saint-Amand. Quand la guerre éclate, elle rentre à Lille. Dès le siège de la ville, elle s'illustre en ravitaillant, sous la mitraille, ses défenseurs, puis en soignant les blessés. Elle s'engage auprès des services secrets britanniques et prend le nom d'Alice Dubois, met sur pied un réseau d'informateurs et renseigne sur les mouvements, les positions des forces ennemies.Sa fougue et son courage ne s'éteignent pas malgré son arrestation, après une dénonciation probable, le 20 octobre 1915 près de Tournai. Incarcérée à Bruxelles, elle est condamnée à mort pour espionnage en mars 1916, peine commuée en détention perpétuelle. Enfermée à la forteresse de Siegburg, elle se révolte et convainc ses codétenues de refuser de fabriquer du matériel de guerre. Mise au cachot, elle tombe malade. Affaiblie, mal soignée, opérée sans hygiène, elle meurt en septembre 1918 à Cologne. Son corps est rapatrié à Saint-Amand en 1920.
Source communiqué de presse de la Poste