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Les informations sur ce timbre ont été mises à jour le : 27/06/2024

Alice Guy 1873-1968


D'après photos © Fonds Thierry Peeters/Signatures © NICOLAS LIPONNE / HANS LUCAS

Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 2023

 

Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins PARIS le 30 juin et 1 juillet 2023
Cachet premier jour créé par : Aline Zalko, mise en page Valérie Besser

 

Premier jour : Oblitération 1er jour au carré d'Encre 3 bis rue des Mathurins PARIS le 30 juin et 1 juillet 2023
Vente générale : 3 juillet 2023
Retrait de la vente : 31 juillet 2024
Valeur faciale : 1.80 €
Affranchissement le plus courant : Lettre internationale jusqu'à 20gr
Création : Aline Zalko

Dentelure : 13¼
Couleur : Multicolore
Mode d'impression : Héliogravure
Format du timbre : 40,85 x 30 mm
Quantité émis : 495.000.
Présentation : Feuille de 15 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 5699
Catalogue Michel : N° FR 8530
Catalogue Scott : N° FR 6461
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 1,00 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,45 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Acteurs, cinéastes, chanteurs

 


Informations sur le sujet du timbre

Alice Guy (1873-1968)

Alice entre à 21 ans au Comptoir général de la photographie – future société Gaumont – comme sténodactylo. Axés sur les scènes du quotidien, les films, à l’époque, ne durent que quelques minutes. Alice Guy a l’intuition du potentiel inexploré de cette invention et propose d’écrire des saynètes de son cru. Avec les moyens du bord, des décors en carton et les bébés des familles du quartier, Alice réalise en 1896 La fée aux choux, la toute première fiction du septième art. Entre 1897 et 1907, elle tourne plus de 200 films dont elle écrit les scénarios, surveille les productions, assure la réalisation. Elle expérimente de nouvelles techniques, invente les effets spéciaux. Le chronophone, qui permet de synchroniser voix et images, lui ouvre de nouveaux horizons. Elle se lance dans les films musicaux et tourne des œuvres de plus en plus ambitieuses, dont une version de la passion du Christ, un de ses chefs-d’œuvre. En 1907, elle suit son mari, Herbert Blaché, aux États-Unis. Alice Guy-Blaché, pour les Américains, dominera dès lors le cinéma mondial, pilotant en toute indépendance dans ses propres studios un immense programme de production et s’essayant à tous les genres : western, policier, mélodrame. Obligée de liquider sa maison de production pour éponger les dettes de son mari, divorcée et ruinée, Alice rentre en France en 1922.
Source © La Poste - Fabienne Azire -

 

 

 

 

 

 

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