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Métiers d'art - La coutellerie - Thiers


Timbre : Courant / moderne



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Listage des timbres de l'année 1987

 

Cachet premier jour
Oblitération 1er jour à Thiers le 7 mars 1987

 

Premier jour : Oblitération 1er jour à Thiers le 7 mars 1987
Vente générale : 9 mars 1987
Retrait de la vente : 16 octobre 1987
Valeur faciale : 1 f 90
Graveur : Patrick Lubin

Dessinateur : Patrick Lubin

Département concerné par ce timbre : Puy-de-Dôme
Dentelure : Dentelé 13
Couleur : noir et rouge foncé
Mode d'impression : Taille douce
Format du timbre : 26 x 40 mm ( image 21,45 x 36 mm )
Quantité émis : 11.314.323
Présentation : Feuille de 50 timbres
Bande phosphore : sans
Catalogue Yvert et Tellier France : N° 2467
Catalogue Spink / Maury France : N° 2468
Catalogue Michel : N° FR 2599
Catalogue Scott : N° FR 2029
Valeur marchande timbre neuf avec gomme intacte: 0,24 €
Valeur marchande timbre oblitéré : 0,06 €

 

La valeur marchande représente une valeur de base du timbre pour la vente ou l'échange

 


Thématique catégorie : Métiers d'art

 


Informations sur le sujet du timbre

La coutellerie

est l'art de fabriquer un couteau à la main, de la lame jusqu'au manche. Cette technique doit une partie de son existence à la présence de la Durolle et des forêts aux alentours de la ville.
Trouvant ses premières traces au XIIIe siècle, la coutellerie joue pour beaucoup dans la renommée nationale et internationale de Thiers. Dans une optique de produire plus efficacement, les couteliers thiernois adoptent la parcellisation du travail dès le XVe siècle : La main-d'œuvre nécessaire pour fabriquer un couteau est disséminée à travers la ville il y a une extrême division du travail, les ouvriers sont spécialisés dans un métier, transmis de père en fils, pour lequel ils acquièrent une grande dextérité. Les barres d'acier que les entreprises reçoivent sont d'abord confiées aux « martinaires » qui les amincissent grâce à des martinets mus par la force hydraulique de la rivière. Les forgerons reçoivent ensuite ces barres avec lesquelles ils forgent les pièces de couteau. Ces pièces sont ensuite envoyées aux limeurs, aux perceurs, aux émouleurs puis aux polisseurs qui aiguisent et polissent les lames sur des meules entraînées par la Durolle. Le fabricant effectue lui-même la trempe, puis, après que le cacheur ait livré les manches, toutes les pièces sont finalement remises aux monteurs qui habitent les faubourgs de Thiers.
Source Wikipédia

 

 

 

 

 

 

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